Or rouge, je coule dans vos veines, symbole de vie comme de mort, fréquemment utilisé comme argument politique, j'ai régulièrement été au cœur de débats idéologiques historiques, je suis...??
Le sang!
Je suis aussi le sujet du nouveau film documentaire de Philippe Baron et Mirabelle Freville.
L'or rouge, la bataille du sang sera projeté sur
grand écran à la médiathèque de Peillac ce jeudi 12 novembre dans le cadre du mois
du doc.
Mirabelle Fréville, la co-scénariste échangera avec le public à l'issue de la projection.
Mirabelle Fréville, la co-scénariste échangera avec le public à l'issue de la projection.
L’histoire :
Juin 1944. Les armées alliées débarquent en
Normandie. Dans les soutes et les frigos des cargos : des dizaines de milliers
de litres de sang humain. L'incroyable armada est aussi la plus grande
opération de transfusion sanguine de l'Histoire. Pour la première fois, une
extraordinaire chaîne logistique permet à des centaines de milliers de dons de
sang effectués à New York et Londres d'être transfusés une semaine plus tard à
des soldats anglo-saxons sur des plages normandes.
Au sein de l'armée américaine, le médecin militaire Herbert Stern participe au débarquement. À travers le parcours de ce quadragénaire américain d'origine allemande, ce film retrace l'histoire de la transfusion sanguine. Stern a vécu les extraordinaires progrès scientifiques de l'entre-deux-guerres et s'est frotté aux blocages psychologiques associés au sang. Chez les Américains comme chez les Allemands, la conviction que le sang est lié à la race est largement partagée. Sur le front de Normandie, tandis que de nombreux nazis préfèrent mourir plutôt que d'accepter la transfusion d'un sang « impur », l'armée américaine se refuse à mélanger le sang des noirs et celui des blancs.
Au sein de l'armée américaine, le médecin militaire Herbert Stern participe au débarquement. À travers le parcours de ce quadragénaire américain d'origine allemande, ce film retrace l'histoire de la transfusion sanguine. Stern a vécu les extraordinaires progrès scientifiques de l'entre-deux-guerres et s'est frotté aux blocages psychologiques associés au sang. Chez les Américains comme chez les Allemands, la conviction que le sang est lié à la race est largement partagée. Sur le front de Normandie, tandis que de nombreux nazis préfèrent mourir plutôt que d'accepter la transfusion d'un sang « impur », l'armée américaine se refuse à mélanger le sang des noirs et celui des blancs.
entrée: 2 €
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