On est
au bout du monde.
Yvonne, la patronne du café, sert des petits rouges aux joueurs de cartes, vend du pain, moud du poivre, trouve le mot juste, la phrase qui sauve la journée. Elle est née dans la maison, il y a quatre-vingts ans. Elle a voyagé, mais a décidé, un jour, d’attendre ici que le monde vienne à elle. Miracle quotidien. Une Mexicaine traverse le bar d’une démarche chaloupée. Un client triste retrouve le sourire. Parfois, c’est tout le bar qui jubile. Il n’y a pas de hasard: « Tous ceux qui entrent chez moi, c’est qu’ils le méritent! »
Yvonne, la patronne du café, sert des petits rouges aux joueurs de cartes, vend du pain, moud du poivre, trouve le mot juste, la phrase qui sauve la journée. Elle est née dans la maison, il y a quatre-vingts ans. Elle a voyagé, mais a décidé, un jour, d’attendre ici que le monde vienne à elle. Miracle quotidien. Une Mexicaine traverse le bar d’une démarche chaloupée. Un client triste retrouve le sourire. Parfois, c’est tout le bar qui jubile. Il n’y a pas de hasard: « Tous ceux qui entrent chez moi, c’est qu’ils le méritent! »
Pourtant,
sur la route, les voitures passent à toute vitesse, indifférentes.
Coquillages
et mots d’esprit à déguster. La mer n’est pas loin. La poésie non plus.
On est au début du monde.
On est au début du monde.
Jeudi 6 février à 20h30
Projection suivie d'une rencontre avec Gérard Alle, le réalisateur
participation: 1 €
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